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21 novembre 2014

Origine du mouvement messianique en Israël

jesusmessie.jpgLe texte ci-dessous est du pasteur Jean-Marc Thobois.

Il est publié dans ce blog avec son autorisation.

   Je voudrais évoquer la mémoire d'un homme remarquable qui s'appelait Yossef Rabinovitch. C'était un juge rabbinique - en hébreu, on dit "Dayane" - qui vivait à Kishinev, qui aujourd'hui fait partie de la Roumanie. Mais à cette époque-là, elle faisait partie de la Russie. Kishinev est devenue tristement célèbre dans l'histoire à cause des pogroms qui l'ont ensanglantée au début du XXe siècle.


Le pogrom, c'était un massacre de Juifs, accompli par des orthodoxes excités par les popes, notamment pendant la période de Pâques, et en particulier pendant le jour du vendredi saint où, à la sortie des messes, les popes exhortaient les fidèles à aller venger sur les Juifs le sang du Christ qui avait été répandu. Les Juifs redoutaient particulièrement le vendredi saint à cause justement de ces massacres dont ils étaient l'objet. En 1904-1905 avaient eu lieu, à Kishinev, des pogroms particulièrement sanglants et la communauté dont Yossef Rabinovitch était responsable avait été durement touchée par ces pogroms. Le soir de ce drame, les survivants étaient rassemblés autour de leur leader dans la désolation la plus totale, au milieu des morts, des blessés, des maisons détruites, des femmes violées... et ils ont alors demandé à leur chef : "Tu peux nous expliquer pourquoi Dieu permet ça ? Notre seul but en tant que juifs c'est d'accomplir les commandements de Dieu pour lui être agréable ; pourquoi Dieu nous traite de cette manière-là ? Et si c'était encore ponctuel... mais cela fait 2000 ans que ça dure ! Tu peux nous expliquer ? "

Yossef Rabinovitch répondit : "Non, je ne peux pas vous expliquer, pour moi aussi c'est un problème. Voilà ce que je vais faire : je vais aller à Jérusalem, je vais rester là-bas dans la prière aussi longtemps qu'il le faudra et je n'en reviendrai que lorsque Dieu aura répondu à cette question que vous m'avez posée."

Alors ces gens lui ont dit : "D'accord, vas-y !"

Il est donc parti à Jérusalem, il a loué une petite maison sur le Mont des Oliviers et là, il a passé de longs mois à prier. La journée, il étudiait dans les yéshivot (centre d'étude de la Torah et du Talmud) de la vieille ville et le soir il priait. Un jour, quelqu'un lui a donné un Nouveau Testament en hébreu. Il l'a lu sans être vraiment impressionné. Il a été un peu étonné de voir que Jésus était finalement beaucoup plus juif que ce qu'il avait pensé, mais ça n'est pas allé beaucoup plus loin. Et une nuit, alors qu'il dormait, il a eu soudain une vision ; il a vu un être de lumière qui venait vers lui et qui lui a dit :

- Je suis venu répondre à ta question.

Alors, Yossef lui a demandé :

- Qui es-tu ?

Il a répondu :

- Je suis le Messie.

- Ah, tu es le Messie ! Magnifique ! Et quel est ton nom ?

- Jésus de Nazareth.

- Non ! Ce n'est pas possible, ce n'est pas possible !

- Si je suis venu pour répondre à ta question "pourquoi vous, les Juifs, vous souffrez comme ça depuis si longtemps ?" c'est parce que depuis 2000 ans vous me méconnaissez.

- On te méconnaît, nous ?

- Oui. Et Jésus poursuivit encore : On t'a donné un Nouveau Testament, alors tu verras.

Quand Rabinovitch s'est réveillé le lendemain, il a relu le Nouveau Testament et il est arrivé à la conclusion que Jésus était véritablement le Messie... Le Seigneur a encore répondu à une autre question que la communauté lui avait posée ; "Combien de temps cela va-t-il encore durer ?"

Et le Seigneur lui a répondu : "C'est presque fini. Dans un peu de temps, vous allez être rassemblés dans ce pays. Mais toi, Yossef Rabinovitch, tu ne le verras pas. Quand le peuple d'Israël est parti en exil, il y a 2000 ans de cela, eh bien l'église juive d'Israël est partie en exil aussi avec le peuple. Dans quelques années, quand le peuple d'Israël sera rassemblé dans ce pays, l'église juive reviendra elle aussi en même temps. Toi, tu ne le verras pas mais tu es appelé à préparer, justement, la renaissance de cette église juive." Et il a employé un mot qui a eu beaucoup de succès ensuite. "Tu n'appeleras pas cette église : Eglise chrétienne. Tu l'appelleras : Eglise messianique."

C'est lui, Rabinovitch qui a été le premier, par une révélation de Dieu, à employer l'expression : croyants messianiques, qui veut dire exactement la même chose que chrétiens. Mais seulement, le mot "messianique" vient de l'hébreu "Mashiah", tandis que le mot "chrétien" vient du grec "Christos". C'est la seule différence mais c'est exactement la même réalité spirituelle. Pour la petite histoire, il y avait une brave soeur sortant un jour d'une réunion : "Ah, je suis contente, je sais maintenant que je ne suis plus chrétienne, mais messianique !" J'ai souri car cela veut dire exactement la même chose !

Cependant, pour un Juif le mot "messianique" passe mieux; c'est pour cela que le Seigneur avait dit à Yossef : "Tu l'appelleras l'Eglise messianique." Et donc, il s'est réveillé là-dessus et voilà, il avait sa réponse et n'avait donc plus rien à faire à Jérusalem... Il fallait maintenant qu'il rentre comme il l'avait promis, mais évidemment, l'énormité de la révélation qui lui avait été faite l'inquiétait : "Comment mes gens vont-ils recevoir cela ?"

Alors, il a décidé de faire un test : il avait un fils qui étudiait à Saint-Pétersbourg et il lui envoya une lettre dans laquelle il expliquait sa vision. Quelques temps après, son fils lui répondait à peu près ceci :"Papa, c'est extraordinaire, quand j'ai reçu ta lettre, j'ai réalisé que le même jour, au même moment, j'ai fait exactement le même rêve que toi et je sais aussi que Jésus est le Messie !" Evidemment, cela a vraiment beaucoup encouragé Yossef Rabinovitch à rentrer. Il est donc retourné à Kishinev où il a rassemblé ses gens et leur a expliqué ce qu'il avait reçu de Dieu. Une partie des personnes a cru, l'autre n'a pas cru...Il y eut division au sein de la communauté. Avec ceux qui ont cru, Yossef a créé ce qu'il a appelé "La Synagogue de la Nouvelle Alliance" qui a été reconnu officiellement par le Tsar comme une association légale. Et là, il a prêché l'Evangile pendant tout le reste de sa vie.

Yossef Rabinovitch était charismatique ; il était descendant d'un mouvement qu'on appelle le "Mouvement Hassidique" qui rassemblait des gens qui avaient aussi un contact avec le Seigneur. Ces gens voyaient au milieu d'eux des guérisons de malades, ils avaient des visions, des révélations. Et le Seigneur a montré à Yossef exactement ce que devait être cette assemblée et ce qu'elle ne devait pas être. Il lui a révélé des chants, des poèmes, etc... Tout cela devait être conservé dans un dossier car le Seigneur lui avait dit que lui ne verrait pas le retour ; il serait comme Moïse, et quand il a senti sa mort prochaine, il a fait venir une de ses petites filles, il lui a remis ce dossier et lui a dit :

- Voilà, je te confie cela et tu le remettras à celui que le Seigneur appellera pour ressusciter cette église juive et préparer cette troisième étape du retour d'Israël dans son pays, ce qui veut dire la venue de l'Esprit sur Israël. 

Alors cette fille a dit :

- Comment le reconnaîtrai-je ?

-  Ne t'inquiète pas, le Seigneur te le montrera.

Ainsi, Rabinovitch est mort et quelques années plus tard est arrivée la première guerre mondiale et ensuite, la révolution bolchévique. La communauté de Kishinev a été détruite et ses habitants ont été dispersés. Cette demoiselle Rabinovitch qui avait reçu ce dossier s'est réfugiée à Paris. C'était le début du mouvement de Pentecôte en France et comme elle avait déjà cette dimension d'une vie de l'Esprit par l'intermédiaire de son grand-père, elle s'est jointe à une des premières assemblées qui se sont créées à Paris : c'était dans la rue de le "Cour des Noues" et à cette époque-là, le pasteur était Christo Domoutchief.

Et donc, elle a vécu là pendant un certain nombre d'années. Pendant ce même temps, il y avait en Afrique un jeune médecin juif, qui s'appelait Zeev Kofsmann.

Il était responsable du service des maladies tropicales pour le compte du service de santé de l'administration coloniale française. Un jour, il eut à soigner un couple de missionnaires américains dont la femme avait contracté une maladie tropicale et comme c'étaient des blancs, ils ont sympathisé et finalement, ils sont devenus amis. Or, un jour que ce couple d'américains était chez lui, la femme s'est adressée à ce monsieur :

- Dites donc, monsieur Kofsmanne, avec un nom pareil, vous devez être Juif ?

Et lui s'est senti agressé... Vous savez, les Juifs n'aiment pas trop que l'on dise de but en blanc "vous êtes Juifs" ; ils se demandent toujours ce que cela cache et lui, il a répondu agressivement parce qu'il s'est senti agressé :

- Oui, je suis juif et vous, vous êtes chrétienne, je sais bien que les Chrétiens n'aiment pas les Juifs.

- Mais monsieur Kofsmann vous vous trompez complètement, Jésus était Juif, nous aimons les Juifs !

Et Zeev Kofsmann a dit plus tard : "Alors là, les bras m'en sont tombés, jamais, jamais, jamais je n'aurais pu penser que des Chrétiens puissent aimer les Juifs ! Cela, en tant que Juif, c'était quelque chose qui était hors de ma pensée, hors de mon esprit, et voir des Chrétiens qui aimaient les Juifs, c'est quelque chose qui m'a bouleversé !"

Et si aujourd'hui il existe un témoignage messianique en Israël, c'est à cause de la parole de cette femme : "Nous aimons les Juifs".

Voyez-vous, il y a beaucoup à apprendre aussi, quant à ceux qui veulent avoir un témoignage auprès des Juifs ! La première chose à faire, c'est de les aimer gratuitement.

Donc, cette personne l'a revu et lui a donné un Nouveau Testament et il s'est alors tourné vers le Seigneur. Mais au moment d'être baptisé, il avait un problème, il s'est dit : "Est-ce que je suis pas en train de passer à l'ennemi, est-ce que je ne suis pas en train de trahir mon peuple ?" Alors il a prié : "Seigneur, montre-moi".

Et un jour, il est tombé sur le texte de Romains, qui dit ceci : "Le vrai Juif, ce n'est pas seulement celui qui a la circoncision de la chair, mais c'est celui qui a la circoncision du coeur". Il a alors déclaré : "D'accord, alors là, j'ai compris."

Là-dessus, la deuxième guerre mondiale a éclaté et il a été convoqué par son chef après la défaite française en 1940 et son chef lui a dit : "Ecoute voilà, j'ai un problème parce que je viens de recevoir un papier de Vichy - on dépendant de Vichy bien sûr ! - ; on me demande de faire le recensement de mes fonctionnaires Juifs. Je sais que tu es Juif, et si je mets "Juif", tu va être licencié...Mais moi je t'aime bien, je veux te conserver. Kofsmann, ça pourrait être un nom alsacien, je vais écrire que tu est alsacien.

Alors Zeev lui a dit : "Donne-moi ici le formulaire" et il y a écrit : Juif 100% !

Pourquoi 100% ? Parce que justement, il avait conscience que sa foi en Jésus faisait de lui un Juif à 100%, "Le vrai Juif, ce n'est pas seulement celui qui a la circoncision de la chair mais c'est celui qui a la circoncision du coeur". Evidemment, il a été licencié, et il a dû rentrer en France et là, il s'est joint à l'Assemblée de Dieu de Toulouse. A cette époque, c'était une petite assemblée de quelques dizaines de personnes, surtout des personnes âgées. Il était le seul jeune. Sa femme était en zone occupée, de l'autre côté à Paris, et il ne pouvait pas la rejoindre. Ils se sont retrouvés par des circonstances extraordinaires ! Ce fut un véritable miracle. Et pendant toutes ces années de guerre, Zeev a été traqué comme une bête féroce ; à plusieurs reprises, la gestapo a failli mettre la main sur lui et c'était quelque chose d'absolument miraculeux s'il s'en est sorti vivant.

A la fin de la guerre, il a donc été réinstallé dans ses fonctions, responsable du service de santé en Afrique occidentale française et il est donc reparti en Ouganda où il était basé.

Là, le Seigneur a commencé à lui parler parce qu'il avait un problème comme beaucoup de Juifs qui aiment le Seigneur : "Trente personnes de ma famille sont mortes dans les camps : pourquoi moi, je suis le seul qui en ai réchappé ?" Et le Seigneur lui a dit : "Tu as été préservé parce que je t'appelle à me servir, à tout abandonner pour me servir". Ah, ça, c'était autre chose, après tout ce qu'il avait souffert pendant la guerre, il venait maintenant de retrouver une situation confortable, avec un bon salaire, une bonne place etc... Il n'était pas question d'abandonner cela... et Zeev refusait donc l'appel de Dieu. Mais un jour qu'il allait chercher un malade dans la brousse, l'ambulance a dérapé sur les mauvaises pistes et a fait plusieurs tonneaux : elle était en piteux état ! Heureusement, personne n'avait été blessé, mais Zeev est rentré chez lui quand même bien sonné. Et le soir, il a pris un feuillet de calendrier, comme beaucoup de chrétiens en ont, et le texte de la méditation était celui-ci : "C'est par moi que cette chose est arrivée", texte où le Seigneur parle à Roboam pour qu'il n'attaque pas Jéroboam après le schisme qui avait eu lieu après la mort de Salomon, "C'est par moi que cette choses est arrivée". Il a dit : "D'accord Seigneur, j'ai compris..."

Le lendemain, il a envoyé sa lettre de démission à l'administration française et il est rentré en France pour se former au service de Dieu à La Cour des Noues où il y avait une école biblique. De cette école, d'ailleurs, sont sortis des gens comme Clément le Cossec, ou Roger Copin.

Et là donc, la première guerre d'Israël, la guerre d'indépendance est arrivée en 1948 et notre homme s'est posé la question suivante : "Est-ce que le Seigneur ne voudrait pas que l'aille là-bas en Israël pour évangéliser mon peuple ?"

Mais il lui venait des arguments contraires : "Surtout ne fais pas une choses pareille, tu as échappé à la Shoah, l'Etat d'Israël ne va pas tenir, les arabes vont vous massacrer, reste ici etc..." Il n'y a que son ami le plus intime, le pasteur Le Cossec, le pasteur fondateur de la Mission Evangélique des Gitans, qui lui a dit : "Ta place est avec ton peuple".

Quelques temps plus tard, a eu lieu, à Lille, la première convention européenne de Pentecôte après la guerre, et la donc, Zeev Kofsmann s'est trouvé avec des milliers de personnes qu'il ne connaissait pas et soudain une personne s'est levée et a donné cette prophétie : "Voilà, je t'ai fait venir d'un pays lointain, l'Afrique, je t'ai gardé pendant ces années de guerre, tu t'es posé la question à savoir pourquoi tu étais resté en vie : c'est parce que je t'ai mis à part pour mon service. Tu le sais, mais maintenant, je te dis que ta place est avec ton peuple..."

Exactement les paroles que lui avait dites le pasteur Le Cossec ! Zeev a alors répondu : "D'accord, je pars !".

Et c'est ainsi qu'il est arrivé, en pleine guerre, à Jérusalem... Mais avant le départ, il est arrivé quelque choses d'assez extraordinaire... Le dimanche qui a précédé son départ, il est allé faire ses adieux à cette église dans laquelle il avait vécu et il a demandé que l'on prie pour lui. Il partait bien sûr à l'aventure, ce n'était pas une mince affaire, il avait deux jeunes enfants. Et dans l'assistance, se trouvait cette demoiselle Rabinovitch... Elle était évidemment très âgée à cette période-là. Soudain, elle a entendu ce jeune homme parler de ce qu'il allait faire : créer une église en Israël etc...Alors, le Saint Esprit a parlé dans son coeur, elle s'est souvenue des paroles de son grand-père : "Le Seigneur te montrera celui est est appelé pour reconstituer cette église et lui donneras le dossier." C'est ainsi qu'à la fin de la réunion, elle est allée le voir. "Monsieur Kofsmann, est-ce que vous ne viendriez pas prendre une tasse de thé chez moi ? " Il a répondu par l'affirmative et quand il est arrivé chez elle, elle est allée vers un placard où elle a pris ce dossier et elle a dit : "Prenez ça, c'est pour vous." Il y avait toute la vision messianique, tout ce que devait être cette Eglise, et c'est avec ça, évidemment, avec cet encouragement formidable qu'était le fait de savoir qu'il était véritablement dans le plan de Dieu, qu'il est arrivé dans de dures conditions, en pleine guerre. Le port de Haïfa était bombardé par l'aviation égyptienne, les gens hurlaient de terreur... Il s'est occupé justement de ces rescapés de la Shoah, dont une dame Rosenblat qui avait été emmenée dans des camps et dont les deux fils avaient été massacrés sous ses yeux. C'est lui qui s'était occupé d'elle. Et puis ensuite, il est allé s'installer à Jérusalem, quand le siège de Jérusalem a été levé, à la fin de 1948 et le 24 décembre 1948, alors que Jérusalem était bombardée, a eu lieu la première réunion messianique à Jérusalem depuis la période des apôtres, comme l'avait annoncée le Seigneur à Rabinovitch. L'église juive était partie en 70 avec le peuple et elle revenait en 1948 avec le peuple.

Aujourd'hui, il y a plusieurs milliers de Messianiques. C'est difficile d'avoir des statistiques très précises parce qu'il y a des gens qui ne s'affichent par ouvertement comme Messianiques pour éviter certains ennuis, mais il y aurait environ 17 000 croyants messianiques en Israël. Vous allez me dire que, sur une population de 7 millions d'habitants, ce n'est pas énorme, mais c'est déjà un bon début et, ce qui est très intéressant, c'est qu'il y a une vision nouvelle de la personne de Jésus en Israël. Vers 1962, dire que l'on était Chrétien c'était, comme je l'ai expliqué tout à l'heure avec ce pasteur Kofsmann, dire qu'on était un ennemi d'Israël... Un Juif ne pouvait pas concevoir d'être chrétien, c'est-à-dire un antisémite, puisque les deux étaient liés...Mais aujourd'hui, un bon témoignage est donné par des chrétiens évangélique en particulier ; je cite en tête l'Ambassade chrétienne internationale à Jérusalem qui, depuis 1980 organise des "marches pour Jésus" et aussi les "marches des Nations" avec des Papous etc..., mais je citerai aussi les organisations comme Ebenezer, les Chrétiens Amis d'Israël, Netzer et beaucoup d'autres organisations encore. Aujourd'hui, le peuple d'Israël sait pertinemment que, s'il est vrai qu'il existe encore beaucoup, malheureusement, de Chrétiens antisémites, il y a aussi des Chrétiens qui aiment Israël.

 

 

  

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