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17 avril 2014

Mister GENOR

témoignageMr Genor

Avez-vous déjà été découragés dans l'évangélisation et la distribution de tracts évangéliques ? Lisez cette histoire !  Tout a commencé il y a plusieurs années dans une église baptiste à Crystal Palace dans le sud de Londres. A la fin du culte du dimanche matin, un homme s'est levé à l'arrière, a levé la main et a dit : Excusez-moi, pasteur, puis-je partager un court témoignage ? Le pasteur a examiné sa montre et a dit : Vous avez trois minutes. L'homme a commencé son histoire :


   Il n'y a pas longtemps que j'habite ici. Auparavant je vivais à Sydney, en Australie. Il y a quelques mois, je visitais de la famille et je suis allé marcher dans George Street, une rue du quartier des affaires de Sidney. Un étrange petit homme aux cheveux blancs est sorti de l'embouchure d'une porte, il m'a mis un tract dans la main et m'a dit : Excusez-moi monsieur, êtes-vous sauvé? Si vous mourrez ce soir, irez vous au ciel ? J'ai été stupéfait par ces mots. Personne ne m'avait jamais dit ça. Je l'ai remercié avec courtoisie, mais pendant tout le chemin du retour vers Londres cette rencontre m’a travaillé l’esprit. J'ai appelé un ami, et je remercie Dieu parce qu’il était chrétien, et il m'a conduit à Christ.

    Les baptistes aiment beaucoup les témoignages comme celui là. Tout le monde a applaudi et accueilli chaleureusement cet homme dans l’assemblée.

   Le pasteur baptiste a voyagé à Adélaïde en Australie la semaine suivante, et dix jours plus tard pendant un séminaire de trois jours dans une église baptiste à Adélaïde, une femme est venue vers lui pour quelques conseils. Il lui a demandé comment elle avait rencontré Jésus. Elle a répondu: Je vivais à Sydney, et il y a quelques mois j'ai été visiter des amis à Sydney et faire quelques achats de dernière minute à George Street : Un étrange petit homme aux cheveux blancs est sorti d’une porte, m'a offert un dépliant et a dit : Excusez-moi, Madame, êtes-vous sauvée? ' Si vous mourrez ce soir, irez-vous au ciel ? J'ai été perturbée par ces mots. Lorsque je suis arrivée à Adélaïde chez moi, je savais qu’il y avait une église baptiste dans mon quartier. Je suis allé voir le pasteur, et il m'a conduit à Christ. Je suis maintenant chrétienne.

   Le pasteur de Londres est devenu maintenant très perplexe. Deux fois en deux semaines, il avait entendu les mêmes témoignages. Il a ensuite pris l'avion pour prêcher dans l'Église Mount Pleasant, à Perth. Lorsque sa série d’enseignements fut terminée, le responsable des anciens de cette église l'a emmené déjeuner, et il lui a demandé comment il a été sauvé. J'ai grandi dans cette église depuis l’âge de quinze ans. Je n’ai jamais eu de réelle relation avec Jésus, j’avais suivi le mouvement comme tout le monde. En raison de mes capacités d’entrepreneur, j’ai eu une place prépondérante dans l’entreprise. Je suis allé faire un voyage d’affaire à Sidney, il y a trois ans. Un vilain petit homme aux cheveux blancs est sortit de l’embouchure d’une porte dans la George Street et m’accosté par une question : Excusez-moi monsieur, êtes-vous sauvé? Si vous mourrez ce soir irez vous au ciel ? J'ai essayé de lui expliquer que j'étais un ancien dans l'église baptiste, mais il ne voulu rien savoir. Tout au long de mon chemin de retour vers Perth, j'étais très irrité. Espérant être rassuré par mon pasteur, je lui racontai mon histoire. Mais ce dernier, contrairement à mon attente, donna raison au vieil homme et m'expliqua que je devais absolument rencontrer Jésus. C'est ainsi qu'il me conduisit à Christ il y a trois ans, et que je peux maintenant dire que je suis sauvé.

   Le pasteur revint de nouveau à Londres, et peu de temps après, il donna une conférence devant l'assemblée de Keswick dans le Lake Districk. Il raconta ces trois témoignages. À la fin de la conférence, quatre anciens pasteurs s'avancèrent et racontèrent que vingt-cinq ans plus tôt, la même expérience leur était arrivée. Ils avaient fait la même rencontre avec le petit homme qui leur avait posé la même question au même endroit. Ils avaient reçus le même tract et avaient été sauvés à la suite de ça.

   Le pasteur partit la semaine suivante pour les Caraibes, et au cours d'une conférence rendit les mêmes témoignages. Au terme de la réunion, trois missionnaires s'avancèrent et expliquèrent que vingt ans plus tôt, ils avaient étés sauvés de la même façon : au même endroit, avec le même homme, la même question et le même tract.

   Le pasteur poursuivit son voyage d'évangélisation à Atlanta en Géorgie pour une réunion avec mille aumôniers de navire. Le responsable de ces aumôniers invita le pasteur à dîner, et le pasteur lui demanda comment il était devenu chrétien. Cet homme lui raconta : J'étais matelot sur un navire de guerre et je menais une vie de débauche. Nous faisions alors des manœuvres dans le Pacifique Sud. Nous avions fait escale à Sidney et tous les soirs nous faisions la java. Un soir, complètement saoul, je me trompai de bus et me retrouvai dans la George Street. À ce moment, je crus voir un fantôme. Un homme se dressa devant moi et me remettant un traité, il me posa cette question : matelot, es-tu sauvé, iras-tu au ciel si tu meurs cette nuit ? La crainte de Dieu me saisit immédiatement. Je fus instantanément dégrisé pour regagner le navire en courant. Là, je suis allé voir l'aumônier qui m'a conduit à Christ. Je suis maintenant le responsable de mille aumôniers  qui essaient à leur tour de gagner des âmes pour le Seigneur.

   Six mois plus tard, le pasteur se rendit en Inde pour une conférence devant cinq mille missionnaires. À la fin de la conférence, le dirigeant invita le pasteur pour un repas. Le pasteur demanda également à son hôte comment il avait rencontré Jésus. Le missionnaire Hindou lui raconta : J'ai voyagé à travers le monde comme diplomate. J'ai séjourné en Australie à Sidney. Un jour, comme j'avais été faire des courses dans la George Street, un petit monsieur aux cheveux blancs m'accosta, et me donna un tract en me demandant poliment : Excusez moi monsieur, êtes vous sauvés, irez vous au ciel si vous mourrez ? Je remerciai beaucoup cet homme, mais cette question ne me laissa pas en paix. De retour dans ma ville natale, je suis allé voir le prêtre hindou. Celui ci, ne pouvant m'aider, me conseilla de m'adresser à la mission chrétienne située au bout de la rue. Le jour même, le missionnaire me conduisit à Christ et j'abandonnai l'hindouisme immédiatement. Je suis maintenant moi-même missionnaire et j'ai la responsabilité de tous ces missionnaires qui ont déjà conduit au moins cent mille personnes à Christ.

   Huit mois plus tard, le pasteur londonien se rendit à Sydney pour prêcher. Là-bas, il s'enquiert auprès du pasteur baptiste de l'existence de cet énigmatique petit monsieur aux cheveux blancs qui distribuait des tracts dans la George Street. Je le connais, il s'appelle Mr Genor, mais il est maintenant assez avancé en âge, je peux vous le faire rencontrer. Deux jours plus tard, les pasteurs se rendirent chez lui, et un vieillard minuscule et fragile les reçut. Ses mains tremblaient en servant le café, et le pasteur de Londres lui fit part de tous les témoignages le concernant.

   Des larmes coulèrent alors sur les joues du petit homme et il raconta : J'étais matelot sur un navire de guerre australien, menant une vie déréglée et jouant des mauvais tours à mes collègues. Un jour une maladie me terrassa. Un de mes compagnons, avec qui je n'avais pas été très gentil m'aida à me relever et me conduisit à Christ. Ma vie changea du tout au tout. J'étais si reconnaissant envers Jésus, que je promis de rendre témoignage chaque jour à au moins dix personnes. À ma retraite, je suis venu prendre place chaque jour dans la George Street où j’ai rencontré des centaines de gens. Pendant les quarante années où j'ai fait cette activité, je n'ai pas vu une seule personne se donner à Jésus !

Quelle fidélité ! Pendant quarante ans, cet homme à travaillé dans la mission que Dieu lui avait confiée sans jamais voir le moindre résultat. Au soir de sa vie, Dieu lui a permis d'entrevoir ce qui s'est réellement passé. Et je suis certain que ces quelques témoignages ne sont que la partie visible d'un iceberg beaucoup plus grand. Une grande récompense attend cet homme au ciel, quand il verra le nombre de gens qui ont été sauvés grâce à son obéissance.

   Pourquoi si peu de chrétiens sont prêts à faire ce que cet homme a fait ? Beaucoup trop marchent par la vue et non pas par la foi. La plupart veulent être récompensés tout de suite  par les résultats de leur travail, sinon ils ne travaillent pas. Si nous avons notre récompense en bas, l'aurons-nous en haut ? Cet homme a eu la foi de travailler de cette façons pendant quarante ans, parce qu'il avait l'assurance qu'il plaisait à Dieu.

Hébreux 11, 5 : C’est par la foi qu’Énoch fut enlevé pour qu’il ne vît point la mort, et qu’il ne parût plus parce que Dieu l’avait enlevé. Car, avant son enlèvement, il avait reçu le témoignage qu’il était agréable à Dieu.

   Allons-nous marcher par la vue ou par la foi ? Si nous marchons par la vue, nous ne serons pas agréables à Dieu.

Témoignage lu sur le site : evangelisetonvoisin.com

11:58 Publié dans Témoignage | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : témoignage

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